ASSEMBLEE GENERALE
DU 23 MARS 2002
à Saint- Denys-de-La Chapelle
( pour le bilan de I’année 2001 ) RAPPORT MORAL
Monseigneur,
Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,
Et chers Amis de Jeanne d’Arc.
C’est avec une joie toujours renouvelée que nous nous retrouvons aujourd’hui réunis en communion dans le cher souvenir de notre bien-aimée Sainte Jeanne d’Arc .
Nous sommes en ce lieu où la Pucelle elle -même recueillit avant d’engager, le 8 septembre 1429, le célèbre combat, qui sans une trouble défection royale eut dû lui livrer Paris comme une apothéose méritée de son oeuvre militaire .
C’est donc avec grande reconnaissance que nous remercions Monsieur l’Abbé Thieffry de nous accueillir à nouveau dans ce sanctuaire de Saint-Denis-la-Chapelle si chargé de ce précieux souvenir.
Mais dans l’évocation de ce haut fait historique, nous ressentons comme un honneur particulier la participation de Monseigneur de Tarragon dont nous connaissons le lien si précieux qui le place dans le sillage de la sainte Pucelle .
C’est dans cette ambiance valorisante que nous ouvrons aujourd’hui « l’Assemblée Générale 2002 » de notre Association Universelle » vouée au culte de Jeanne d’Arc, sous ses aspects spirituels, historiques, guerriers et culturel au sens le plus élevé de ces termes .
Dans cet esprit, le programme de notre Assemblée comporte selon un ordre rituel bien établi :
* Le Rapport Moral rendant compte de l’activité de notre Association et de ses résultats .
* Puis le Rapport Financier relevant de l’une des activités de notre Vice-Président Monsieur Pierre Maire.
* Puis le Rapport des « Relations Publiques » présenté par le Colonel de La Ville-Baugé , où nous retrouverons les marques de son dévouement infatigable au service de notre sainte Pucelle.
* Dans ce même ordre de pensée, nous demanderons ensuite à Monsieur Goniche de nous donner une approche de la fonction capitale d’ « Attaché de Presse » qu’il assume pour une diffusion de nos messages culturels à une échelle universelle répondant à la vocation capitale de notre Association.
* Et à son épouse Madame Goniche de présenter un aperçu des progrès redevables à son initiative dans la connaissance à une échelle générale des statues de Jeanne d’Arc.
* Puis viendront les formalités rituelles de ces genres d’assemblées, c’est à dire l’approbation de nos membres pour le renouvellement du Bureau qui sous ce nom commun est en fait le « Chapitre Général » de notre Association.
* Et enfin, sous le titre de « Question diverses » les évocations par nos participants eux -mêmes des sujets les plus vivants de l’activité de notre Association.
C’est donc par le « Rapport Moral » que nous abordons la relation des activités de notre « Association Universelle » sur le cours de l’année écoulée de 2001 .
RAPPORT MORAL
Le premier but d’un Rapport Moral est de rendre compte de l’activité d’une société en fonction des résultats obtenus au cours d’un chapitre écoulé, par rapport aux anciens acquis. A ce propos notre bilan actuel est significatif .
En prenant pour origine son appréciation au sortir d’une longue crise de recrutement l’effectif de notre Association était en 1994 de 226 membres.
Lentement mais régulièrement, nous le voyons porter en 1995 à 332. Puis en 1997 à 362. Puis en 1999 à 470. Puis en 2000 à 499 et enfin en 2001 à 502. A ce contingent de membres actifs s’ajoute un nombre appréciable de sympathisants connus .
Si cet effectif recensé est encore bien insuffisant au regard de la cause que nous servons, son avancée régulière témoigne néanmoins de l’activité promotionnelle engagée à son servIce .
En outre, si ce chiffre est fort modeste en quantité, il se signale par la qualité de ses participants. On y compte notamment 22 religieux souvent éminents, 6 généraux et 5 médecins.
C’est donc sur ces données que s'établissent nos projets d’avenir et résolutions d’une qualité supérieure pour nos campagnes actuelles et à venir .
Mais à nos nouvelles activités promotionnelles doit s’ajouter l'effort de prosélytisme personnel de tous nos membres auquel doit les obliger leur foi et leur vénération pour les ineffables vertus de la Pucelle . Voyons à présent ce que fut l'outil essentiel de cette avancée salvatrice .Il s'agit de l'organe de « Relations Publiques » au sein de notre « Chapitre Général ».
LE CHAPITRE GENERAL
Les « Relations Publiques » constituent l’une des activités principales de notre « Chapitre Général », projetant dans le monde l’œuvre de notre institution.
Placée sous la très active autorité du Colonel de La Ville Baugé qui va nous en rendre compte avec toutes les précisions souhaitables, c'est à cette branche capitale de notre activité que revient le privilège, l’ honneur et la charge de diffuser à l’échelle mondiale le grand message historique de Jeanne d’Arc, par les voies orales des conférences et celles des écrits .
Aussi les « Relations Publiques » constituent-elles la principale source des résultats de la progression régulière de notre Association, dont nous venons de vous donner un aperçu.
C’est donc dans cette voie que doit dans les temps à venir, porter notre effort principal.
L’ATTACHE DE PRESSE
Sur ce point, précisément, il convient de placer une initiative toute récente sur laquelle nous devons fonder les meilleurs espoirs. Elle est à peine en voie d’engagement mais sous les meilleurs auspices.
Il s’agit de la mise en action au sein de notre « Chapitre Général » d’une activité de haute signification dans le sens promotionnel, celle de l’Attaché de Presse.
Monsieur Jean Goniche qui a accepté la charge de cette mission, sera accrédité auprès d’une sélection d’organes de presse, aux deux échelles nationale et mondiale. Cette position officialisée lui permettra de procéder à une diffusion programmée des textes promotionnels présentant Jeanne d’Arc ainsi que l’organe qui la sert, notre Association, sous un jour culturel sensibilisant pour les consciences les plus ouvertes .
Monsieur Goniche nous livrera lui-même dans un instant, ses propres réflexions et intentions sur ce sujet. Et à son tour, Madame GONICHE nous présentera l’essentiel de ses initiatives dans le domaine capital de l’iconographie johannique.
Une autre initiative est en voie d’élaboration, pour mettre en oeuvre sous la diligence de Monsieur Michel Dutour, une autre forme d’ouverture, par la publication d’ouvrages complets sur les grands sujets de base que nous avons à traiter. Nous en aurons 3 à faire éditer en premier. LA RECHERCHE
En dehors des taches fonctionnelles de la gestion de notre Association, une autre activité primordiale de caractère culturel n’a jamais cessé de nous animer depuis sa fondation par Monsieur de Maleissye, avec le Général Weygand en 1953. Il s’agit de la recherche.
Comment cette nécessité de la recherche s’impose-t’elle à nos consciences? On sait en effet qu’après l’ignoble crime de Cauchon le 30 Mai 1431 à Rouen et même après la tardive réhabilitation de la Pucelle par Calixte III le 7 Juillet 1456, la mémoire de Jeanne d’Arc tomba dans un oubli paradoxal. Ce fut dans l’histoire de la guerre de Cent Ans un trou d’ignorance fâcheux pour le savoir des historiens .
On sait aussi ce que, cinq siècles plus tard, on dut à la perspicacité de Jules Quicherat, aux mérites du Cardinal Touchet et de Monseigneur Dupanloup, ainsi qu’aux auteurs de la tardive canonisation de 1920 pour la pleine restauration de cette valeur capitale de l’histoire.
Mais depuis cette avancée culturelle décisive, les deux aspects capitaux du souvenir de Jeanne demeuraient séparés au point de paraître incompatibles. Selon les affinités personnelles de chacun on voyait soit la haute sainteté si bien établie par la canonisation ; soit les exploits guerriers glanés sur les champs de bataille. Mais entre ces deux valeurs éminentes, subsistait une sorte de divorce inexplicable.
Pour concrétiser cette pensée en une image parlante, disons que l’on voyait mal une jeune sainte de 17 ans en armure charger à cheval, comme la représentent si souvent les artistes, pour conduire son armée au combat avec un art militaire supérieur à celui des meilleurs guerriers de son temps. Cette incompréhension de l’harmonieuse conjugaison dans l’âme surnaturelle de Jeanne de deux logiques en apparence si opposées, dura jusqu’à nos temps .
Ce fut alors le privilège d’une pensée aussi éminemment chrétienne que guerrière, celle du Général Weygand, d’en comprendre le mystère. Et pour lancer cette révélation sur une nouvelle voie, il promut la création d’un organe d’étude et de recherche placé sous de prestigieux patronages, au nom de l’Association Universelle des Amis de Jeanne d’Arc.
Tel est, Monseigneur, Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, le sens de la mission qui nous incombe aujourd'hui, par la voie de la recherche des données spirituelles et historiques qui doivent rétablir dans son unité la nature « surnaturelle » au plus haut degré, de cette sainte guerrière pas tout à fait comme les autres.
Et tel est aussi notre devoir de faire rayonner de tout notre pouvoir, le grand message que Jeanne d’Arc est venue apporter au monde. Car tel est bien le fond de notre pensée commune.
RELATIONS PUBLIQUES
- 31 Mars 2001 : l’Assemblée Générale de l’année dernière.
- 23 Mars 2002 : Moins d’un an plus tard, nous sommes à nouveau en présence de Jeanne d’Arc, ne serait-ce que par sa représentation sur ces vitraux, et je suis chargé de vous informer des principaux événements survenus.
Je ne remercie plus le Père Thieffry de nous accueillir, vous l’avez fait vous-même après l’avoir entendu.
Trois faits, importants pour leur conséquences, sont à signaler.
I) Le renfort du Chapitre Générale, grâce au volontariat des deux attachés de presse.
Selon un principe simple : le président produit, l’attaché diffuse.
Nous retrouvons là les deux parties de la mission de l’Association Universelle. Tous le reste du système ne tourne qu’en vue de leur permettre d’accomplir ces fonctions.
Monsieur Dutour se charge des éditeurs pour les livres.
Monsieur Goniche, lui, distribue les articles aux revues et journaux auprès desquels, progressivement, il se fait connaître.
II) En second lieu : la conférence sur la Bataille de Lagny.
Le bulletin n° 169 vous en a présenté le déroulement et le texte.
A l’exception d’un ami amené par un auditeur, toute l’assemblée était affiliée à l’association. Malgré une trentaine d’invitations, pour la plupart adressées à des militaires ou à des organismes intéressés à la culture militaire et à l’histoire, personne n’est venue de l’extérieur.
C’est donc « en famille », dans un cadre superbe, chaleureusement accueillis par Madame Marie-Véronique Clin, que nous avons écouté René Olivier. Il nous a montré l’occasion donnée, là, à la Pucelle de développer tout son génie militaire. Elle en a largement profité.
Aujourd’hui, la seule conséquence de cette excellente conférence aura été l’enrichissement intellectuel de chaque auditeur. Notons, toutefois, qu’une revue militaire spécialisée à retenue le texte pour un de ses prochains numéros. Mais son audience reste limitée.
Il nous appartient donc maintenant de mener à bien une diffusion visant à rectifier la notion répétée, jusque là, par tous les historiens, selon laquelle l’engagement de Lagny n’a été qu’une escarmouche de peu de poids.
III) Enfin, troisième fait notable, l’enregistrement de : « Écoutons Sainte Jeanne d’Arc » disque ou cassette, cette œuvre vous a été présentée brièvement dans le bulletin n° 169. S’adressant à des enfants de six à quinze ans, elle représente une initiation de qualité à l’histoire et à la spiritualité de Jeanne d’Arc.
Un ménage parisien, de l’association, a organisé une réunion cherchant à rassembler aussi des relations extérieures à l’association, pour élargir le champ d’action. Monsieur et Madame de Rosny étaient venus de leur Touraine pour présenter « Ecoutons Sainte Jeanne d’Arc ».
Le téléphone arabe ayant fonctionné, l’un tirant l’autre, ils se sont retrouvés à une trentaine de participants.
Les commentaires de fin de séance, dépassant la simple formule de politesse, ont souligné la qualité du message et de son expression.
Le disque s’est déjà vu distribuer de-ci, de-là par certains des auditeurs.
Il conviendrait d’organiser, à Paris de nouveau, en banlieue, en province, ou même dans d’autres pays francophones des présentations de ce disque.
Les auteurs pourront vous aider ou même éventuellement venir vous assister.
Demandez-leur. Ils sont tout prêts à vous entendre (1). Ensuite les objectifs sont : évêchés-paroisses-écoles-mouvements de jeunes.
Pour ma part, il me reste encore quatre prêtres à qui rendre visite, Mgr de Tarragon m’ayant secouru en établissant une liste d’interlocuteurs possibles.
Environ deux mois plus tard, je devrai retourner voir chacun pour connaître les résultats de cette campagne et les différentes réactions qu’elle aura provoquées.
C’est important. A nouveau, un effort vous est demandé.
Nouvelles brèves
Au cours de cette année se sont constituées deux nouvelles délégations régionales.
Mademoiselles Cornudet a bien voulu prendre en charge les Normandies. Contrairement à son habitude elle n’a pas pu venir à cette assemblée générale. Elle se remet progressivement d’un à coup de santé mais son zèle johannique n’est pas affecté pour autant.
Madame Nicot-Huchedé préside aux destinées de l’Association Universelle dans la ville de Cannes et la région qui l’entoure très largement. Monsieur Michel Barbier lui a cédé sa place mais il n’abandonne pas pour autant son activité personnelle au profit de Sainte Jeanne d’Arc.
Si l’occasion s’en présente, ne manquez pas de les prévenir et d’aller leur dire bonjour (2). Ceci est vrai, aussi, pour les autres délégués régionaux.
Avec le Président Olivier, nous avons rendu visite à Mademoiselle Renée Grisel, devenue membre de l’Association Universelle peu d’années après sa fondation.
La conversation a porté, en partie, sur son livre et les raisons pour lesquelles elle l’avait écrit. « Présence de Jeanne d’Arc » , un excellent ouvrage, était publié en 1956 aux Nouvelles Editions Latines, préfacé par le Général Weygand. C’est à cette occasion que Mademoiselle Grisel rejoignait l’association.
Lors d’un déjeuner débat à l’Ecole Militaire, mais devant un auditoire civil, René Olivier a présenté « l’Actualité de Jeanne d’Arc ». Quelques questions très pertinentes ont prouvé l’intérêt suscité par le thème et par la qualité de sa présentation.
Les relations avec le Cercle Renaissance (3) ont été ranimées par une visite à son président-fondateur Michel de Rostolan et à son fidèle secrétaire général Camille François Lestienne.
Elles pourraient se concrétiser par une demande à René OLIVIER d’une conférence sur Jeanne d’Arc mais pour un auditoire extérieur au Cercle Renaissance.
Deux spectacles parisiens ont retenu l’attention. « Jeanne d’Arc, une fille à brûler », d’après le livre de Joseph Delteil, joué par Melissa Rayé et mis en scène par François Bulteau.
Vous en ayant fait un compte rendu enthousiaste dans le bulletin n° 170, je ne recommence pas.
« Jeanne et Thérèse » au Trianon théâtre.
Au tout dernier moment, j’ai été empêché d’assister à cette représentation.
L’appréciation, recueillie ensuite auprès de spectateurs compétents, était très réservée sur la qualité de la pièce.
Le livre de Monsieur MUGNIER décrit dans le bulletin n° 170 est paru. Une documentation remarquable et de nombreuses illustrations en tout un ouvrage très complet sur la Basilique de Domremy.
« Enfin ! » me direz-vous. Car je conclu sur les projets.
- Dimanche 12 Mai : fête de Jeanne d’Arc.
1) A Paris : 9h30 l’hommage national. Place des Pyramides.
11h30 la fête religieuse – Messe à l’église de Saint Denys de la Chapelle célébrée par Monseigneur de Tarragon . (pas à la Basilique, où nous irons prier après la messe).
2) Pour la province : Je ne connais pas les précisions. Mais, pour les gens de passage, vous pouvez vous renseigner auprès des organisateurs, dont la liste figure dans le bulletin n° 168 page 15.
Pour Cannes, il convient de remplacer Monsieur BARBIER par Madame NICOT-HUCHEDE.
Le dimanche 26 Mai à 15h00, le Président OLIVIER traitera de « Jeanne d’Arc, femme de lettres » devant le groupe Omnes Fratres de Paris 19, rue des Tanneries, dans le 13ème arrondissement. (Métro : Glacière autobus n° 21 Glacière Nordmann).
L’entrée est libre et cette réunion est organisée par Monsieur SOULIER, membre de l’Association Universelle.
(1) Association Message-Mélodie-Rencontre La Vallière – F.37530 Nazelles Négron
02.47.57.29.70 Prix du disque ou de la cassette : 9,20 euros
ordre du chèque : Association Message – Mélodie – Rencontre.
(2)- Mademoiselle Monique CORNUDET 18, rue Piédagnel 50100 CHERBOURG
Tél : 02.33.43.50.08
- Madame Bérengère NICOT-HUCHEDE 10, rue Borniol 06400 CANNES
Tél : 04.93.39.03.80
(3) Cercle Renaissance 138, rue de Tocqueville 75017 PARIS Tél : 01.42.27.48.22
RAPPORT FINANCIER
ANNEE 2001
Les années se suivent et enregistrent malheureusement les mêmes difficultés.
Notre fichier compte 500 adhérents, après déduction des envois gratuits du bulletin à 102 membres nous devrions encaisser 398 abonnements, or seulement 226 ont été payés et nous constatons que 172 abonnements servis n’ont pas été réglés.
Les abonnements de soutien et la générosité de quelques amis permettent de couvrir les dépenses.
Nous lancerons un dernier appel à ces 172 adhérents en leur demandant s’ils souhaitent vraiment recevoir notre bulletin, puis nous devrons arrêter de leur servir l’abonnement faute de réponse.
Malgré ces défaillances nos recettes ont légèrement augmenté en raison de l’augmentation au 1er janvier 2001 de l’abonnement qui est passé de 100 à 131 F (soit 20 €) et de la cotisation qui est passée de 50 F à 66 F (soit 10 €). Cette augmentation a pu paraître un peu lourde, cependant la précédente augmentation remonte à 1989 où l’abonnement était passé de 80 à 100 F.
Nous remercions sincèrement tous les amis qui ont accepté cet effort et grâce auxquels nos finances sont équilibrées.
Les recettes passent de 41045 Francs en 2000 à 49 949 Francs en 2001 et dépassent légèrement les dépenses qui s’élèvent à 48 362 F contre 51 492 Francs en 2000.
Ces dépenses comprennent :
- Location de la salle pour
l’Assemblée Générale : 300 F
- Impression du bulletin : 28 080 F
- Affranchissements : 16 222 F
- Fleurs : 3 760 F
L’exercice 2001 se trouve donc avec un petit bénéfice de 1 587 Francs. Cependant la stagnation de notre budget qui se situe autour de 50 000 F (7 622 €) reflète un certain piétinement de nos activités.
Nous devons nous sentir plus mobilisés encore dans un contexte où Jeanne d’Arc est très loin de la préoccupation de la plupart de nos semblables.
Mais nous, nous savons qu’elle est incontournable et que le salut passe par elle. Alors, gardons espoir, armons-nous de courage et apportons à notre Association Universelle des Amis de Jeanne d’Arc les moyens en dévouements et en argent de relancer son développement.
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