Association Universelle des
Amis de Jeanne d'Arc



Statue

Fondée en 1953.

Le général Weygand en assure dès le début, une présidence d'honneur active et efficace.

 

But de l'association

Présenter une image complète et exacte de Jeanne d'Arc dans un esprit strictement culturel

Son action Recherche, Diffusion Liaison avec les pays étrangers


AG de 1998
Jeudi, 05 Avril 2012 12:17



ASSEMBLEE GENERALE ANNUELLE DES AMIS DE JEANNE D'ARC


CHATEAU DE VINCENNES LE 13 MARS 1999









RAPPORT MORAL





Fidèle à une tradition coutumière, le "Rapport moral" de notre Assemblée Générale annuelle de 1999 présente :



·         d'une part le bilan de notre Association Universelle des Amis de Jeanne d'Arc pour l'année écoulée ;



·         d'autre part un exposé sur l'évolution de nos structures et de nos activités dans le présent et sur les projets concernant le prochain exercice.



Puis, Monsieur Pierre Maire présentera son "Rapport financier" avec ses commentaires explicatifs, consignes et perspectives.



A son tour, le colonel de La Ville Baugé rendra compte de l'activité qu'il dirige dans cette branche essentielle de notre action que sont les Relations Publiques, avec leur projection sur l'avenir.



Ces exposés seront suivis du débat traditionnel sur l'ensemble des sujets traités et les réponses aux questions qui pourraient être posées.



Mais nous tenons avant toutes choses à remercier Mr le Général BACH Chef du Service Historique de l'Armée de Terre, pour son obligeance à nous accueillir dans ce prestigieux conservatoire de notre Histoire nationale dans laquelle la branche militaire occupe une place éminente.



A ce propos, il nous est agréable de souligner que si une contribution à notre histoire militaire française est particulièrement importante au point d'y briller d'un éclat exceptionnel, c'est bien l'épopée de Jeanne d'Arc dans la guerre de Cent Ans, qui est la préoccupation capitale de notre Association Universelle dans le présent.



Ceci veut dire que la Pucelle qui sauva la France par les armes, se trouve bien chez elle dans ce château de Vincennes qui fut le Quartier Général de son principal ennemi le duc de Bedford… avant que la  victoire française vienne l'en déloger…. Merci mon Général !…






LE CARACTERE "UNIVERSEL"





Sur l'historique de notre Association elle-même, il est une notion essentielle qui doit demeurer toujours présente dans nos pensées.



Lors de sa fondation en 1953, son créateur le Général Weygand a fixé d'un seul mot, mais d'un mot capital, le fondement même de notre Association, en la qualifiant d'"Universelle". Et ce mot fut placé dans son titre.



Or, il faut préciser le fond de cette intention, qui est d'une importance extrême pour entrer ainsi dans sa définition.



Bien sûr, nous connaissons à fond le caractère profondément national de l'épopée de Jeanne d'Arc. La mission de la Pucelle était de rendre à la France sa souveraineté gravement menacée par l'invasion étrangère anglo-bourguigonne.



Toutefois, il est encore plus vrai, s'il est possible, que par la nature de sa mission et surtout par le caractère de sa personnalité, Jeanne d'Arc atteint au plus haut niveau, une dimension "Universelle" qui fait d'elle à la fois une héroïne de la défense des valeurs supérieures de la Chrétienté et un modèle de sainteté qui dépassent infiniment le caractère national.



Tel est le point capital sur lequel il ne nous paraît pas nécessaire d'insister, tant il s'impose, surtout parmi nous, avec évidence. Mais il était bon toutefois de le rappeler comme l'une des bases de l'accord qui nous unit.



Sur cette conception aussi primordiale que générale de notre "Universalité", nous en venons à présent à des données plus pratiques touchant aux structures de notre Association.




FONDATION & STRUCTURES





Ceux d'entre nous qui eurent le privilège de connaître la période initiale de notre développement, peuvent en témoigner. C'est dans une atmosphère à la fois prestigieuse et dynamique que le Général Weygand a placé notre Association Universelle.






HAUT PATRONNAGE ET COMITE D'HONNEUR





Dans cet esprit, le premier soin de notre fondateur fut d'instituer d'une part un Haut Patronage honoré de la Bénédiction Apostolique de S.S. Pie XII et rassemblant avec quatre cardinaux, quatorze archevêques et évêques.



D'autre part un "Comité d'Honneur" réunissant auprès du Général lui –même et de Madame la Maréchale de Lattre de Tassigny, 21 personnalités de premier rang aux deux échelles française et internationale.








COMITE DIRECTEUR





Enfin, un "Comité Directeur" composé, sous l'autorité du comte de Maleissye-Melun, le Commandant Lecoq, le Général Poydenot, le Docteur Stéphanopoli, Messieurs Pierre Virion et Wambergue.

Si au cours des 25 années qui suivirent cette période floride, à laquelle contribuèrent notamment les conférences du Gal Weygand lui-même, ces divers organes et l'ensemble de notre institution furent gravement décimés par l'usure du temps.



Mais nous sommes particulièrement heureux et honorés de ce que Madame la Maréchale constitue aujourd'hui, toujours à la tête de notre "Comité d'Honneur", un lien bien vivant et particulièrement prestigieux avec nos illustres origines de la Fondation. Une lettre dont elle a bien voulu m'honorer avant-hier, nous dit son regret de ne pouvoir être parmi nous aujourd'hui, mais sa pensée y est bien présente dans notre commune vénération de Jeanne.



Pour pallier la dangereuse érosion actuelle de nos structures essentielles il devint nécessaire de réétoffer les effectifs amoindris de cet organe représentatif, en procédant avec une parcimonie permettant d'en sauvegarder l'éminente qualité initiale.



C'est ainsi que sans avoir retrouvé le lustre que connurent nos Anciens, la structure actuelle de notre Comité d'Honneur, récemment éprouvé par la perte douloureusement ressentie de Mademoiselle Régine Pernoud dont nous avons rendu compte en Juin dernier (bulletin N°157), se limite encore à dix membres éminents répondant aux hauts critères conformes à ceux du choix des anciens participants. C'est là l'une de nos initiatives actuellement en cours dont nous rendrons compte en temps voulu.








LE BULLETIN





Tout au long de cette œuvre de lente réédification, l'organe intéressant l'ensemble de nos structures et activités fut avec les manifestations culturelles diverses et rituelles de maintenance, le "Bulletin", organe de liaison qui, depuis les origines, demeura dans le culte du souvenir de la Pucelle l'élément de cohésion et d'unité de l'édifice et de sauvegarde de notre effectif de base.



Or sur ce point, il faut le dire car la vérité s'impose : le mérite en revient à Mr Pierre MAIRE qui en plus d'autres fonctions servies avec le même dévouement et la même efficacité, en assume la responsabilité, depuis la composition, l'impression et jusqu'à la diffusion, autrement dit toute l'exploitation. Dans la continuité de la vie de l'Association, ce lien de cohésion eut toujours un rôle capital d'information, de liaison et de maintenance.






LES RELATIONS PUBLIQUES





A ces fonctions capitales pour la vie et la prospérité de l'Association viennent s'ajouter celles des "Relations publiques". Cette action de première nécessité gère les rapports capitaux de notre Association au sein même de la société en France et dans le monde. C'est assez dire son rôle et son importance. Si bien que dans son avenir elle devra prendre une autre extension à la mesure des nécessités de notre diffusion en France et dans le monde.



Dans cette branche, c'est bien au Colonel de La Ville Baugé que revient tout le mérite, à défaut d'une aide qui lui serait pourtant indispensable, en rapport avec l'importance de la tâche.








LES COMMISSIONS





Après ce rapide survol sur la "structure fonctionnelle" de base de notre Association, il faut donner un coup d'éclairage sur la "structure de développement" dont dépend à la fois le devenir dynamique de notre institution et celui de la cause éminente que nous servons.



Il s'agit donc là de la création dans chacune des branches de notre activité culturelle autour du personnage de la Pucelle, d'une cellule de recherche ayant pour tâche de fonder sur des données solides la doctrine devant servir de base à notre action.



L'institution d'organes portant le nom de "Commissions" répond à une nécessité de nature éminemment "culturelle".



La connaissance approfondie d'une personnalité aussi vaste et aussi complexe que celle de Jeanne d'Arc, qui touche d'une façon si précise aux deux domaines du naturel et du surnaturel, implique une recherche allant au-delà des connaissances actuellement acquises par la science elle-même.



C'est dire que cette nécessité nous impose un devoir de recherche dans chacune des branches intéressées par cette personnalité hors du commun.



Il se peut qu'il y ait dans notre résolution dans cette voie très originale une certaine "témérité" que nous ne méconnaissons pas. Mais Jeanne d'Arc nous a donné de telles leçons de "témérité" victorieuse et triomphante que nous n'hésitons pas à nous y engager à notre tour.








LA COMMISSION RELIGIEUSE





Au premier plan de ces activités vient la "Commission Religieuse" imposée pas le caractère éminemment spirituel de la Pucelle elle-même, sa signification surnaturelle et sa mission providentielle terrestre.



Cette action doit bien entendu relever d'une compétence de sûreté absolue dans le domaine spirituel où nous sommes en devoir de nous avancer avec résolution.

C'est un grand honneur et un grand réconfort moral pour nous que Dom Gérard Calvet, Père Abbé du Barroux en ait accepté l'autorité, avec l'assistance de Mgr de Tarragon, qu'un lien familial particulier place tout droit dans le sillage de la Pucelle.








LA COMMISSION MILITAIRE



Dans l'ordre de la stricte logique, au regard de la personnalité guerrière de Jeanne d'Arc, juste après la "Commission Religieuse" vient la "Commission Militaire".



La nature de cet organe s'impose avec évidence. Il s'agit de l'investigation poussée sur ce qu'il faut appeler qu'on le veuille ou non "la révolution de l'Art militaire" apportée par Jeanne d'Arc, en plein milieu de la guerre de Cent Ans.



Autrement dit de la façon si personnelle, si particulière de combattre qui lui permit de vaincre avec un brio inouï et une rapidité bouleversante, des armées ennemies dont l'action avait jusque là dominé les XIVème et XVème siècles médiévaux.



Il y a en cela un acquis culturel dont l'ignorance entache les données doctrinales de notre enseignement militaire actuel d'une grave lacune. Ce vide, il nous appartient, pour rendre justice à Jeanne, de le combler.



La "Commission Militaire" instituée à cette fin est déjà richement dotée. Elle est présidée par le Général de La Motte, avec l'assistance du Général de Dinechin et du Colonel Francis Lambert, l'ancien chef de corps du 8ème chasseurs d'Orléans, le Régiment de Jeanne d'Arc.



Comme avancée préliminaire de notre percée dans ce domaine, il nous est agréable de vous annoncer la prochaine parution chez de Guibert, d'un ouvrage de fond intitulé : "Jeanne d'Arc Chef de Guerre".








LA COMMISSION HISTORIQUE





Depuis le deuil récent de Mademoiselle Régine PERNOUD, notre Commission Historique qu'elle avait bien voulu accepter de présider, se trouvait ainsi privée d'une autorité exceptionnelle.

Mais cette fois, une intervention providentielle nous a secourus. Ce fut en nous accordant le concours particulièrement désiré de la personnalité la plus proche de Régine Pernoud, par le cœur et l'esprit. Il s'agit de sa collaboratrice et co-signataire : Madame Marie-Véronique CLIN.



Voici donc, en dépit de notre perte, la continuité de nos travaux rétablie dans ce domaine de l'Histoire où nous avons tant à faire pour répandre dans un large public qui en a grand besoin, une meilleure connaissance de la véritable personnalité de Jeanne d'Arc et de sa prodigieuse épopée. Qu'il nous soit donc permis de dire un grand merci à Madame Marie Véronique CLIN.








LA COMMISSION MUSICALE





Dans un ordre de logique très voisin vient la "Commission Musicale" car la musique elle-même touche d'une manière très éminente aux deux domaines religieux et militaire intimement liés à la personnalité de la Pucelle.



Nous ne nous étendrons pas ici sur les bases doctrinales qui expliquent et justifient cette double intimité culturelle. Disons seulement que ces bases sont déjà formellement établies.



Leur application entre dans la réalité avec la révélation d'une œuvre de haute signification historique. Il s'agit de "La Marche de Jeanne d'Arc" exécutée le vendredi 29 Avril 1429 vers huit heures du soir par les Ecossais de la Garde de Charles VII pour saluer l'entrée de Jeanne d'Arc dans Orléans par la porte de Bourgogne, à la tête de deux cent lances.



La présidence de cette "Commission Musicale est confiée à Monsieur Guy Morançon, Titulaire du Grand Orgue de la Basilique de N.D. des Victoire.








LA COMMISSION SCIENTIFIQUE





Si curieux que cela puisse paraître à priori, Jeanne d'Arc dans son lointain XVème siècle, pose à une science toute moderne, toute actuelle, des problèmes du plus haut intérêt.



Les faits qui captivent notre attention se trouvaient naturellement hors des connaissances de son temps, mais ils éveillent dans le notre des échos singulièrement enrichissants sur certains aspects capitaux de la nature humaine.



Les données établies dans la connaissance historique de Jeanne d'Arc lors de cette période si particulière de la puberté féminine font apparaître des faits que nous ne mentionnerons pas aujourd'hui, mais dont l'étude mérite une attention spéciale. Ce n'est pas sans raisons que nous en faisons état.



En outre, les singularités de ce tempérament guerrier lié aux conditions exceptionnelles de sa structure à la faveur de la virginité chez une fille de son âge, apportent aussi matière à réflexions riches de développement à la frontière de nos connaissances sur certains aspects profonds et encore inexplorés de la nature humaine. La science ne peut s'en désintéresser. Elle doit s'engager avec respect à leur étude.



Dans ce domaine, nos premières ouvertures sont en cours, sans qu'il soit actuellement opportun de donner plus de précisions sur ce sujet qui suppose de longs développements et légitime notre intérêt passionné. Nous ne disons ici que ce que notre devoir d'information nous oblige de mentionner.

En un mot, dans l'admirable complexité de sa prodigieuse personnalité, Jeanne d'Arc nous renseigne sur certaines singularités, sur certaines richesses potentielles insoupçonnées de la nature humaine. Nous n'avons pas le droit de nous détourner de ce message, quelles que soient les difficultés de l'approche de ces mystères.








CONCLUSIONS





Après ce rapide survol sur le caractère et l'activité des organes essentiels de notre Association en fonction de nos devoirs vis-à-vis de Jeanne d'Arc, un exposé sans doute original par rapport aux usages communs des "Assemblées Générales", nous aurons une meilleure idée de son fonctionnement au cours de cet exercice, grâce aux informations plus concrètes que vont nous donner ;

D'une part Monsieur Pierre MAIRE dans son Rapport de Gestion financière et fonctionnelle ;



D'autre part le Colonel de La Ville Baugé dans son Compte rendu sur l'état actuel et l'évolution de la branche des Relations Publiques qu'il dirige et anime avec autant de compétence que d'énergie.



Enfin, sur ces trois formes d'information, nous seront tous trois heureux de répondre aux questions suscitées d'une part par nos apports respectifs ; d'autre part pas la marche de notre Association Universelle. Ce pourrait d'ailleurs être là la partie la plus participative et animée de notre débat.



R. OLIVIER.



Communication de Monsieur Louis-Hubert REMY




Monsieur Louis-Hubert REMY a bien voulu faire une brève communication sur "la triple donation" du royaume de France à Jeanne d'Arc, de Jeanne d'Arc à Jésus-Christ, puis de Jésus-Christ à Charles VII qui s'est déroulée à Saint-Benoît-sur-Loire, le mardi 21  Juin 1429, à 16 heures.

Nous en publierons le texte dans le prochain bulletin, n° 161 du 2ème trimestre 1999, mais nous en remercions dès maintenant Monsieur Louis-Hubert REMY.



P.M.







RELATIONS EXTERIEURES





Cette année, pour l'association, aura été plus longue que les autres. Commencée au lendemain de la dernière assemblée générale de Janvier 1998, elle aura duré jusqu'à aujourd'hui, 13 Mars.



Vous en connaissez les raisons.



Le bilan est-il proportionnel au temps passé ?



Pas dans sa partie la plus apparente.



-          Une conférence du Président Olivier à Sancerre, le 18 avril.

-          Un entretien à Radio-Courtoisie le 9 Mai, sur "Jeanne d'Arc, chef de guerre".

-          Un déplacement à Patay pour préparer la journée du 19 Mai prochain.

-          Une soirée à Lille, à laquelle n'avait pu se rendre le Président Olivier. J'y écoutais une causerie sur Jeanne d'Arc, dont le prochain bulletin vous rendra compte.



Je mets à part notre présence aux obsèques de Régine Pernoud le 27 Avril et à un hommage qui lui était rendu par ses proches, le 10 Juin . Nous y assistions plus par sentiment personnel que dans la seule intention de représenter l'association.



D'autres actions, plus discrètes, ont aussi été menées, élargissant le champ de l'Association Universelle.



Sur le plan militaire des contacts ont été suivis ou établis. Ils permettent d’envisager une publication dans une revue militaire.



Dans la presse civile, trois articles importants sont parus dans les Ecrits de Paris et l’Homme Nouveau.



Le volet musical se développe. L’interprétation de divers morceaux est à l’étude et l’apport de certains de nos adhérents pourrait être exploité.



Les relations extérieures ont reçu une accélération subite, souvent due à une rencontre ou une occasion inopinée.



Vous êtes au courant des relations engagées en Avril avec l’association Les Comptoirs de l’Inde. Depuis septembre des courriers sont échangés avec un couvent de Sœurs argentines, dans le Mendoza et avec un correspondant français qui habite la même ville et rencontre souvent les sœurs. Une solide documentation sur Jeanne d’Arc leur a déjà été fournie par Monsieur MAIRE.



Tout récemment un entretien avec un représentant du Japon à Paris permet d’espérer des suites très intéressantes.



Les liaisons suivies avec des organismes extérieurs se résument à :

-          très bonnes avec l’association Notre Dame de Bermont dont, par notre bulletin, vous avez des nouvelles dès que j’en reçois.



-          et rétablies avec Diffusion de la Pensée Française qui a fait paraître une note d’information sur l’association Universelle dans chacune de ses deux revues.

Notre prochain bulletin fera état de la dernière parution.



Il m’a été demandé où en était la question de l’armure de Jeanne d’Arc, dont la presse a parlé. L’affaire est suivie par l’Association Universelle.

Si l’hypothèse selon laquelle cette armure à appartenu à la Pucelle est vraisemblable, aucune preuve définitive n'a encore été apportée. Or il faut une certitude pour que l’association prenne position.



Dans le compte rendu de cette assemblée, a paraître dans le prochain bulletin, je vous rappellerai les numéros qui manquent à notre collection d’archives des bulletins. Si vous les retrouviez dans vos trésors, je vous prierais de les prêter à Monsieur MAIRE, le temps qu’il les photocopies.





Les prochains réunions prévues sont :



* Le 19 Mai à Patay – sous réserve d’avoir pu vous inscrire au secrétariat de Monsieur     MAIRE car le nombre de places est limité.



* Le 30 Mai à 16h30 une conférence de René OLIVIER sur « Jeanne d’Arc -  chef de guerre - » organisée par la Fraternité « Omnes Frates ». Les détails vous seront donnés dans le prochain bulletin. J’espère d’ici là avoir reçu confirmation de ce projet.



Les indications sur les cérémonies de la prochaine fête de Jeanne d’Arc y figureront aussi.



J. de La Ville Baugé.









RAPPORT FINANCIER ANNEE 1998





Nous progressons lentement, mais nous progressons. Nous expédions à chaque parution plus de 500 bulletins (nous étions à 400 l'année dernière).

Une centaine d'abonnements sont servis gratuitement, soit pour la promotion du bulletin et de l'association, soit à diverses personnalités, soit encore à titre d'échange avec des bulletins d'associations amies.

Les recettes de l'exercice 1998 sont légèrement supérieures, et passent de

41 235 F à 42 045 F.


Les dépenses augmentent



Pour l'impression du bulletin        32 664

En affranchissement                     12 082

Fleurs et honoraires de messe

pour la fête de Jeanne d'Arc          4 800

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Soit un total                                    49 546

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Nous ressortons une perte de 7 501 F qui pour l'instant est financée par le délai de règlement que veut bien nous accorder notre imprimeur.



Heureusement les cotisations et abonnements pour 1999 arrivent régulièrement et nous

parviendrons à équilibrer notre budget grâce à la fidèle générosité de nombreux amis.



Nous rappelons une nouvelle fois que les dons versés à l'association peuvent donner lieu à un reçu fiscal et être déduits des revenus imposables au titre des œuvres d'intérêt général.



L'assainissement de nos finances constitue un moyen de défiscaliser un peu en cette période de déclarations d'impôts… (dans la limite de 1,75% du revenu imposable on bénéficie d'une réduction d'impôt de 40% du don effectué).



Soyons les diffuseurs du bulletin des Amis de Jeanne d'Arc, même si cela doit passer par une petite incitation fiscale.



Je crois que c'est pour nous le meilleur support pour faire connaître notre Association et proposer le message de Jeanne d'Arc au plus grand nombre.



Le plus grand nombre, c'est aussi la solution à l'assainissement des finances de notre association.



P.MAIRE.



Ces rapports ont été approuvés à l'unanimité des présents, soit 30 personnes auxquelles s'ajoutent 119 pouvoirs reçus.